Hélène 25, L’Exposition, Première Partie

Hélène 25, L’exposition, première partie

Avec un clin d'oeil à notre cher Vieulou,


- Tu viens, ma chérie, j’ai réservé pour neuf heures et demie.
- Encore cinq minutes, je suis presque prête, lui répond-je en sortant de la douche.
- Tu veux que je monte t’aider.
- Non, chaton, tu vas me retarder en mettant tes mains partout.

Mon amour m’a promis une soirée romantique en amoureux. Tout ce que je sais, c’est qu’il m’emmène diner, et puis après…

En fait, je suis « presque prête », il ne me reste qu’à m’habiller. J’ai coiffé ma chevelure en chignon, comme un appel à des baisers sur la nuque et dans le cou. Mes oreilles sont parées de grands anneaux, ce qui embellit mon port de tête.
Je me gaine dans une guêpière rose pâle et jaune très clair, j’ajuste mes seins dans le balconnet, ou plutôt le redresse seins car la dentelle s’arrête juste en dessous du téton, laissant mes framboises à nu. Vite fait, j’agrafe mes bas. Une paire de talons et il ne me reste plus qu’à choisir ma robe.

Je prends sur le cintre une robe en mousseline de soie verte, portée sur un jupon léger pour éviter une transparence indiscrète. Pas de culotte, je me sens joueuse. La jupe me cache jusqu’ à mi-mollet, mais je peux la faire voler autour de ma taille, dévoilant la chaire pale de mes cuisses. Une ceinture de soie assortie pour mettre en valeur mes formes en sablier, et voilà, plus que quelques détails à peaufiner.
Je m’ajuste devant le miroir, j’ouvre mon décolleté, à la limite des mamelons, mais je ne suis pas satisfaite. Je fouille dans mon coffret à bijoux. J’y trouve mon byzantin orné d’un swarowski. Je passe une chaine en or dans l’anneau du dessus. Et je la verrouille autour de mon cou.
Ma parure se loge naturellement entre mes seins. Je réajuste le tissu pour camoufler mes bouts déjà turgescents.

Je descends l’escalier, heureuse, les seins presque à l’air et le cul en liberté.

Je me sens si femme et sensuelle.

Mon chéri m’a invitée dans un petit bistrot, à Dampierre, où la viande argentine est savoureuse, et dont un mur est décoré par des coiffures militaires, dont un exemplaire rare de képi de troupe méhariste. Je suis plutôt joyeuse en entrant, et très joyeuse en sortant.

- On rentre
- Non j’ai prévu une surprise pour toi. Fait mon amant en prenant une route qui nous éloigne de la maison

La voiture tourne à droite dans une allée qui nous guide vers une demeure de maitre largement illuminée. Nous nous garons devant l’escalier.

- Qu’est-ce qu’il y a ici
- Une exposition. Fait mon homme en ouvrant la portière.

Je descends manquant de perdre l’équilibre. Le repas a été délicieux, et je l’ai bien arrosé. J’ai un petit coup dans le nez, et j’ai envie de jouer.
Debout, cachée par la portière, je glisse mes mains sous ma robe, et je fais tomber mon jupon.

- Que fait tu, ma belle.
- Je m’expose, puisqu’il s’agit d’une exposition, lui dis-je en lui attrapant le bras.

Puis, prise d’une inspiration subite, je le lâche, et je le devance de quelques pas.
Il s’arrête instantanément pour profiter du contre-jour. Puis il me rejoint et me prends la main.

- Tu as mis toutes les chances de ton côté. Me fait-il remarquer
- Je sais bien qu’avec toi, le mieux est de suggérer, de faire deviner, plutôt que de montrer.

Nous entrons dans le hall. Christine est là, nous accueillant avec un large sourire,

- Christine, c’est quoi cette exposition.
- Ce sont des soumises et des soumises, présentés comme des meubles humains, ou dans des positions esthétiques ou simplement pratiques. Tu pourras même jouer avec.
- Jouer ?
- Oui, elles et ils sont présentées avec les accessoires. Tu vas voir ça va te plaire

Nous avançons tous deux dans les couloirs.

Un lampadaire humain !
L’homme est assis en équilibre, sur une sellette, d’où partent quelques fils, ses jambes sont ramenées sous l’assise.
Ses bras et ses épaules sont tirées en arrière, son torse est lié à un poteau pour éviter qu’il bascule en avant. Son visage est encagoulé. Sa bouche est déformée par un mors sur lequel est ajustée une douille électrique, munie d’un globe lumineux.
Son corps est celui d’un homme plus jeune que Pierre.

- Comment l’allume-t-on ?
- Hélène, regarde plus bas, c’est évident.

Le sexe du malheureux, à demi en érection est pris dans une cage de métal.
Je ferme les yeux et je tends la main. J’effleure l’étrange interrupteur.
A travers mes paupières closes, je perçois la lumière de la lampe qui s’allume. Mais en même temps, j’entends un gémissement.
Je regarde le soumis , son corps tremble encore, sa queue a gonflé, sans atteindre une érection complète.
Je caresse à nouveau la cage. La lampe s’éclaire pendant que le supplicié est secoué par une décharge électrique. Je comprends que les fils sont reliés à un pal.

Pendant un instant, une image mentale se forme. Je m’imagine empalée, les seins pincés et étirés, la mâchoire déformée, et secouée par les décharges.
Puis, sur l’écran de mes paupières, j’imagine un corps plus mince, des cuisses et des mollets musclés, un ventre plat.
Dans mon cinéma intérieur, je lève les yeux vers le torse et les épaules du supplicié imaginaire. Un tatouage, une panthère qui plante ses crocs dans le cou.
Pierre, à la place cet homme ! Accepterait-il cette exhibition si je lui demandai ? Oserai-je même lui proposer ?
Cette rêverie me trouble. Il faut que Pierre me tire par la main pour que je revienne à la réalité.

Nous nous éloignons. J’entends une série de gémissements, et un éclat de rire. Je me retourne. Une matrone gainée de cuir noir joue avec le sexe de l’homme empalé.

Nous cueillons au vol deux flutes sur une desserte, et nous continuons notre visite.

La pièce carrelée ressemble à des toilettes, mais il n’y a dedans qu’un urinoir.

Nous nous approchons, je me penche. Je suis stupéfaite.
Au fond de la cuvette, un visage jeune, lisse, androgyne, les yeux cachés par des lunettes de protection de cabine UV. Sa bouche est maintenue ouverte par un écarteur dentaire.
Un instant, je m’imagine ma jupe troussée, aspergeant la faïence.

- Pierre, s’il te plait.
- Désolé, ce n’est pas mon truc, ma chérie.
- Gros beta, passe-moi ton verre.

Puis doucement, je fais couler le contenu de nos deux champagnes entre les lèvres de cette pissotière.
Un gargouillis, que je traduis en merci.

Nous continuons la promenade. Dans cette chambre, un cul nous attend, comme jaillissant du mur, ou plutôt d’un paravent poussé dans un angle.
C’est un beau fessier de femme, imposant, comme une croupe de jument. Les cuisses sont fortes, maintenues écartées. Des pinces, munies de poids sont crochées aux petites levres, laissant le sexe imberbe exposé. L’orchidée baillante montre sa nacre brillante. Cette coquine mouille, dans l’attente de la flagellation de son pétard .
Nous ne verrons rien d’autre du corps auquel cette croupe appartient.

Les marbrures qui le décorent montrent qu’elle a été appréciée, et que la cravache posée sur le reposoir à côté, a servi.

- S’il te plait, mon chaton, caresse mon popotin avec ce jonc.
- Oui à condition que tu honores dignement cette jeune femme.
- Toi d’abord, fait ma chérie en me tournant le dos et en se troussant.

Récit de Pierre.

Je prends l’instrument, je tapote légèrement la paume de ma main avec la claquette de l’instrument.

- Ne me fait pas attendre, s’il te plait. Me lance ma chérie

Le sifflement de la tige du jonc traverse l’air. Le cri de ma sultane lui fait écho.
Doucement, une marque rouge apparait sur les fesses de ma victime adorée. Puis le rideau de sa jupe tombe sur ce spectacle attendrissant.
Hélène prend la badine de mes mains, se retourne, et dans le même mouvement, elle lance son coup.
Un hurlement féminin lui répond. La croupe opulente agite frénétiquement, une trace rougit à vue d’œil, nous percevons des sanglots de l’autre côté du paravent.

- Pierre chéri, je me sens toute chose. Crois-tu que je pourrais être exposée.
- Tu le veux vraiment.
- Oui, s’il te plait.
- Revenons vers l’entrée, nous verrons si Christine peut quelque chose pour nous.

Récit de Pierre.

Hélène chuchote quelques mots à l’oreille de notre hôtesse.
Celle-ci me fait signe d’approcher

- Ça tombe bien, j’ai eu un désistement, venez tous les deux. Ajoute -t-elle en nous entrainant dans un salon à côté.
- Pierre, que comptez-vous mettre en valeur chez Hélène, ses fesses ?
- Non, en ce moment, j’ai l’impression qu’elle fait une fixette sur sa poitrine.
- Tant mieux, j’ai trop de culs en exposition. Puis elle ajoute, autoritaire
- Hélène, ma chérie, mets-toi à poil !
- Mon amour, peux-tu me dégrafer. Me demande ma belle

Si tôt demandé, si tôt fait, ma compagne se retrouve en tenue d’Eve.
Son corps de quinqua est attendrissant, presque maternel. Environ un mètre soixante, soixante-cinq, des formes, juste où il faut.
Des jambes avec des chevilles fines, des mollets bien marqués , des cuisses un peu charnues, un fessier opulent bien mis en valeur par une cambrure naturelle encore accentuée par une taille assez fine, un petit ventre, bien pratique pour servir comme oreiller après l’étreinte.
Ses seins se sont alourdis, mais ils se tiennent encore bien. Et je ne peux m’empêcher d’apprécier leur léger balancement quand ils sont en liberté.
Vraiment un corps superbe et sensuel.

Son visage ovale a à peine subi les outrages du temps, un très léger empâtement des joues, quelques ridules autour des yeux, sa bouche est restée pulpeuse.
Elle ôte les épingles du chignon, les boucles noires de sa chevelure cascadent sur ses épaules nues. Elle se débarrasse de ses boucles d’oreilles, dégrafe sa chaine et me tend ses bijoux. Je les glisse dans ma poche.


Nous nous dirigeons vers ce qui ressemble à un lit recouvert d’un drap noir

- Toi ma jolie allonge toi à plat ventre sur ce matelas. Lance Christine et elle ajoutee
- Mais dis donc cette marque est toute fraiche, on dirait, que vous avez fait joujou. Fait-elle remarquer à Hélène, Puis s’adressant à moi.
- Pierre, aidez-moi à préparer cette belle poulette.

Christine me tend un jeu de billes de geisha de métal d’environ trois centimètres de diamètre et un plug de métal muni de deux fils électriques.

- Inutile de vous dire où les enfoncer. Ajoute-t-elle.

Complaisamment, ma douce ouvre ses fesses à deux mains. Un petit coup de lubrifiant et je pousse la première boule. L’anus gobe le petit engin, accompagné d’un soupir d’aise de sa propriétaire. Le passage de l’autre sphère et la pose du rosebud provoquent les mêmes gémissements heureux.

- Retournez-vous, et asseyez-vous ! Fait notre belle domina en me confiant un bâillon boule.

Je m’approche d’Hélène ; elle arrête ma main.

- Je préférerai un mors en anneau. Fait- elle.
- Le bâillon boule, avec ces trous est mieux adapté. Si le drap se plaque sur votre bouche, vous risquez d’avoir de la peine à respirer. Explique notre belle hotesse

Je rends muette l’ heureuse victime, puis je l’allonge sur le matelas.
Je l’immobilise en fixant les bracelets de ses chevilles et de ses poignets.

- Christine, il me vient une idée, avez-vous une sorte de polochon.
- Tenez fait-elle en me tendant l’oreiller demandé
- Ma chérie peux-tu te cambrer et soulever tes fesses, s’il te plait, fais-je en m’adressant à la belle allongée.

Celle-ci s’exécute, et je glisse le boudin sous son cul, offrant son sexe.

Christine et moi continuons de nous occuper de la future suppliciée. Nous posons sur elle un drap noir, muni de deux ouvertures dans lesquelles nous glissons les deux mamelles de ma belle amie.
Avec une paire de ciseaux, je pratique une ouverture triangulaire au niveau de son sexe.
Pendant ce temps, à l’aide d’une agrafeuse à répétition, notre hôtesse fixe et tend le tissu sur le corps allongé.
Je connecte les câbles sortant des fesses à un petit boitier.
Christine me tend alors une paire de petits tubes à vide. J’emboite aussitôt les deux mamelons dans les ventouses et j’actionne la petite pompe à vide. Un geignement me confirme que la propriétaire de la poitrine apprécie ce traitement.
Quand les tétons de ma belle ont atteint le diamètre et la longueur de mon pouce, j’arrête la petite machine.
Je glisse à la base des deux appâts deux petits anneaux dont la face est crantée, je serre la vis de blocage des deux cercles, jusqu’ à ce que je sois sûr qu’ils ne glisseront pas. Mon amante accompagne cette opération d’halètement de douleur. Puis je casse le vide et je retire les deux cloches. Le résultat est saisissant : les fragiles boutons roses d’Hélène sont à la fois gonflés et étirés, ils semblent gorgées de sang.
Je les effleure du doigt. Ma sultane se cambre en émettant un cri étouffé.
Elle est prête !!!

Récit d’Hélène

La toile m’aveugle et se plaque sur moi. On att mon sein droit, des doigts pétrissent mon teton, le faisant grossir. J’ai une sensation de succion, je sens mon sang affluer dans mes mamelons. Cette sensation est à la limite du plaisir et de la douleur.
Je me doute bien de ce qui m’attend. Je ne suis pas surprise de la morsure d’une petite mâchoire, qui s’accentue jusqu’ à devenir douloureuse. Je laisse échapper un geignement



Récit de Pierre
Après m’être occupé de la poitrine de ma belle j’entreprends sa chatte. Je noue un lien sur ses anneaux. Puis je tends les ficelles dont j’agrafe les extrémités libres, écartant ses grandes lèvres.
Je me saisis de deux pinces chirurgicales, à bout plat et arrondi. Je clampe une première nymphe, provoquant un petit gémissement sous le drap. L’autre lèvre subit le même sort.
Je les étire en les rattachant au lien des grandes nymphes.
Son orchidée est ouverte, épanouie. Je décalotte son clitoris, et je dégage son bouton.
Son intimité nacrée, humide est totalement découverte, offerte.

Récit d’Hélène.

Mes seins me lancent sous la souffrance de l’étirement combinée à celle de l’écrasement.
Je me forme une image mentale, dans laquelle je ne suis plus qu’une paire de seins étiré et une chatte exposée, au clitoris disponible.
J’entends comme étouffé, le dialogue lointain de mon maitre et de mon ordonnatrice

- Pierre, activez ce petit martinet et posez le à coté de notre belle amie.
- Activer le martinet ?
- Oui, appuyez sur le bouton au bout du manche.
- Qu’est-ce qui va se passer ? interroge mon amant.
- Il y a un capteur dans le manche, et il envoie un signal dans le plug. Agitez-le.

Je prends une décharge électrique dans l’anus, En même temps les deux billes s’entrechoquent dans mon rectum. Je gémis dans mon bâillon.
Je comprends ce qui m’attend. Douleur du flash associé au plaisir de la stimulation anale.

- Aidez-moi à faire rouler ce lit, pour l’installer. Demande Christine à mon homme.

Le transport dans les couloirs, avec les virages, achève de me désorienter.
Mon véhicule improvisé s’arrête.

- Venez Pierre, laissez la seule.

Le silence, et mon immobilité e aiguisent mes sens. Mon anus engodé me renvoie cette douce sensation de dilatation, celle que j’apprécie tellement quand mon amour m’encule.
Mon ouïe s’affine, et je peux entendre comme au loin le hurlement d’un cul flagellé.

Des pas dans le couloir. Puis une voix féminine.

- Viens voir, Si si, viens voir.

Je frémis. Cette voix, qui me fait frissonner, c’est celle de Béatrice…

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